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    Poursuivons ce voyage estival au pays des lettres périgordines par une nouvelle escale au pays des femmes.
    Rendons d’abord visite à Marie-Christine Cavenelle, familière des salons après avoir enseigné un quart de siècle le français au lycée professionnel de Chardeuil : « Une expérience formidable avec des jeunes motivés », commente-t-elle avec enthousiasme.
    L’organisation d’ateliers d’écriture, le montage de pièces de théâtre, la lecture à haute voix dans les médiathèques l’ont beaucoup occupé et lui ont permis d’oublier un peu des sujet qui l’inquiètent : ainsi le déboussolement de la jeunesse. 
    Tendres cruautés
    Côté écriture, elle se remet à peine du naufrage de Pierregord qui avait édité « Miroir sans tain » (2011) et « La vie de Sacha » (2012) couronné du prix Saint-Estèphe. Elle s’est maintenant tournée vers Arka pour faire éditer « Tendres cruautés ».
     
    Cette auteure assez extravertie, sensible à l’amitié partagée et aux vertus de la rigolade collective, est devenue une fidèle des journées du livre en Périgord. « Je crois aux marchés, aux salons, à Facebook », affirme-t-elle. (http://oyez-perigord.fr/)

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    Il ne s'agit pas d'un livre sur la politique mais plutôt d'un portrait psychologique : Un homme fraîchement élu président de la République française a des projets plein la tête pour redresser le pays. Il compte réussir là où ses prédécesseurs ont échoué. Il se croit apte, il se croit de taille, il fait confiance à son fabuleux destin mais bientôt ses déboires personnels vont l'entraîner sur une mauvaise pente.
     
    Et ce qu'il croyait être une chance, un honneur va vite se révéler un regret, un fardeau qui le conduira à se demander si son destin est vraiment enviable. 

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    Article de presse

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    Sol revient avec une nouvelle histoire ténébreuse. Plus noir, plus trash, ce polar jazz n'épargnera pas son lecteur. Préfacé de façon originale, "Sol #" est un tourbillon qui entraîne ses personnages et leur humanité dans une partition désespérée où la vie repose en équilibre sur une ligne d'improvisation. Polar jazz acharné, "Sol#" suit son rythme biologique jusqu'à la mort. Sol en apnée musicale devra monter d'un cran pour s'en sortir et découvrira une part d'elle qu'elle ne connaissait pas.
    Extrait Une putain de note avec une merde de concert. Sol fulminait derrière sa contrebasse. Trois mois qu'elle était à Manhattan et elle n'avait pas avancé d'un pouce. Elle jouait, tout en visualisant un coup de pied retourné dans la tête du saxophoniste qui soufflait comme un âne. Ses doigts accrochaient sur " But not for me " de Chet Bakert, elle avait du plomb dans les mains et une envie de meurtre dans les pieds. On ne joue pas si on ne sait pas : c'était pourtant simple. Dernier morceau, dernière mesure, contrat rempli, il n'y avait plus qu'à se tirer!
    "Qu'est-ce que ça peut me foutre!
    Je n’ai pas de vie , je suis le thème de la partition que j'improvise à chaque son.
    Vous faites partie de mon morceau
     
    Pas sûr que votre thème me plaise."

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